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La série "les caprices d'Alex" (after plusieurs discours de théoricien.ne.s, plusieurs lectures, vidéos...) en cours de traitement... Nous étions tous émus en amphithéâtre après les images de Goya... Émus ! Oui ! Oui ! Mais comment ? 
 

Alex : Raconter une image ou une histoire est un ART disaient plusieurs théoriciens, c'est la "pratique de la théorie" disent les profs ou "du geste artistique de l'écriture littéraire" disait un conférencier et professeur des écoles... 

Il y a des hétérotopies faites de diverses anomalies littéraires et de divers AFFECTS... 

Vicky : Toutes mes séries fonctionnent comme une STOP MOTION qui mélange plusieurs objets, Figurines, poupées, des marionnettes, des jouets retables, jaquemarts, dioramas, etc. ; plusieurs re.présentations profanes et sacrées datant des périodes jadis (être surtout attentif aux gestes), qui ont pour points communs d'être des re.présentations en VOLUME, et miniature de l'homme ou du vivant...

 

Christina : En esthétique de l'art on ne fait pas de courtes ou longues correspondances parce qu'on est un.e BON.NE écrivain.e ou parce qu'on est un.e grand.e philosophe, OOO que non... on le fait car en tant que théoricien.ne de l'art on aime les images (les mots comme les sons), et parce que cela nous affecte et réveille ou éveille des désirs comme des souvenirs... Mais d'autres raisons peuvent aussi nous animer... Et parfois nous sommes comme hantés par une oeuvre plastique (sonore) et/ou littéraire... 

 

Alex : Je me souviens encore du premier cours introductif sur "théorie du Nuage" d'Hubert Damisch, ce qui m'a attiré le plus, c'est le titre... je me suis demandé sans même lire l'ouvrage ce que pouvait CACHER LES NUAGES ? Et dès ce jour, je semblais être sur un NUAGE et après sur plusieurs nuages... Ce titre restait gravé en moi comme la voix (certaines interviews) de Madame Morrison...


ANN : Chaque série fonctionne comme un devoir proposé par mes profs en Esthétique et Sciences de l'art, c'est un work in progress et seul un rendu sur papier m'oblige à ne plus prolonger les trames, chaque série est un roman graphique ou un livre d'images parfois très théorique comme un Atlas fait de DIALOGUES. Dialoguer pour entendre et écouter plusieurs opinions et ne pas adopter des pensées absolues et radicales, toujours exprimé sur  "un ton Grand Seigneur naguère adopté naguère en philosophie" et dans biens d'autres Sciences humaines et sociales... 

 

J'ai consacré ces dernières années une place si importante à une pratique très riche de leçons théoriques, et pour corroborer les paroles de plusieurs théoriciens, qui avouent que la pratique devra être considérée naturellement comme une "plausible" théorie en puissance, surtout si cette dernière puise ses racines dans de nombreuses sources... J'allais opposer ou lier d'une manière plus ou moins formelle qu'informelle plusieurs fils, les détendre et surtout observer en écoutant des chants d'oiseaux qui prolongeaient ma trame au-delà d'un savoir circonscrit, au-delà, des concepts, des opinions, mais, qui inventaient aussi, d'une autre façon, des nouveaux rapports aux images et aux sons... Comme un cahier de morceaux choisis qui racontent (les morceaux) un voyage consistant à noter, réveiller et éveiller des souvenirs, parfois, le travail de toute une vie qui réinvente les mouvements de la danse souvent hantée par la notion d'unicité, et qui, témoigne (danse) de mon/plusieurs inclusion.s inévitable.s dans un nouveau monde parfois cruel... 

Une re.lecture risque d'être parfois longue, car à mon retour de la cueillette de nouvelles notes et pistes à Souza, certaines images et croquis m'invitaient à plusieurs récits plus ou moins longs, et d'autres fragments étaient plus silencieux, juste un ou deux mots, et parfois j'avais du mal à poser rapidement un titre sur certaines images (paysages), alors, j'essayais d'esquisser en les archivant pour une association (ultérieure) libre d'idée, j'essayais de trouver des liens évidents (possibles/plausibles) entre elles... 

C'est surtout un Work in progress, à chaque projet, j'aime présenter souvent deux images ou trois de l'atlas qui sont des textes plus ou moins longs, parfois un chapitre entier, mais il s'agit des fragments qui font parties intrinsèque et extrinsèque de mes œuvres plastiques... il ne s'agit surtout pas d'une description générale de ma pratique artistique, ni un discours de l'art ou un discours sur l'art de  mes diverses pratiques, mais on peut parler de notes qui concourent d'une manière plus ou moins immédiate à l'inspiration créatrice, à ma perception des arts à un moment donné de ma vie, ma jeunesse, ma vie  troubadouresse et ses gaffes, qui m'accompagnent progressivement tout au long de ma vocation artistique et esthétique et m'aident à esquisser une archéologie du savoir visuel et sonore et surtout à faire revivre certaines images et d'autres sons... 

L'idée de dialoguer est une habitude acquise depuis mes premières pièces de théâtre à l'église et en classe de terminale. Je devais anticiper la suite des idées, me mettre à la place de tous les personnages et comprendre leurs émotions. Je pouvais aussi lire dans de nombreux textes référencés que :


Le dialogue ou la conversation au théâtre est une succession de répliques que s'échangent deux personnes ou plus au théâtre... les personnages peuvent parler de tout, de la vie, de l'art, de la politique, de la nature, de la cuisine, de la mode, et j'en passe car on n'a pas encore énuméré toutes les possibilités et la liste des sujets seraient interminables car une seule pièce peut traiter plusieurs sujets...

Le dialogue est un élément essentiel du texte théâtral, car c'est grâce à lui que l'intrigue se déroule et que les personnages se révèlent au public. Le dialogue doit donc être fluide, clair et compréhensible, tout en reflétant les différentes personnalités et les émotions des personnages.

Le dialogue théâtral joue un rôle important dans l'exposition de l'intrigue, l'expression des conflits et la progression de l'action. Il sert à développer les relations entre les personnages et à faire ressortir leurs caractéristiques.

Le dialogue ou la parole au théâtre rend l'échange vif et peut traduire un conflit ou renforcer le comique d'une scène. En effet, elle donne lieu à des jeux de mots, car elle utilise des formules condensées.

L'intérêt du dialogue est important car pour aider les personnages (et les autres personnes qui participent à la création (externe) de la pièce à comprendre et exprimer de nombreux émotions et à développer un bel esprit critique. S'il voit qu'un adulte s'intéresse à ce qu'il a ressenti, l'enfant osera davantage partager son émotion. Ce sera aussi l'occasion de consolider ses repères et sa représentation du monde qui l'entoure.

On pouvait aussi lire chez WIKI (sources à revérifier) que :

Le dialogue (également en latin : dialogus), est un genre littéraire présentant des personnages en train de dialoguer, d'échanger par le biais de la parole.

Le dialogue est un genre très ancien, qui remonte à l'Antiquité et aux dialogues philosophiques, de Platon et Socrate (De l'amitié, 44 av. J.-C.) ; ce dernier les utilisant en conjugaison avec la maïeutique. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le dialogue se développe et devient un genre littéraire : particulièrement important au cours du Siècle des Lumières, il s'inspire des conversations dans les cafés, salons et clubs de l'époque, qui, associés à un esprit d'échange et de dialogue en société, permettait la propagation des idées nouvelles sans risque de censure. O, découvrait qu'il y avait plusieurs types de sujets qui pouvaient être polémiques, didactiques et dialectiques...

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© 2022 par Anna Mapoubi 

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